“M’en parles pas. Ces tampons afghans sont un cauchemar.”
“Taré.”
Element inconnu
“Pour l’amour de Dieu, arrête Marylin !”
“Quelque chose me dit que tu t’es remise à fumer.”
“Impatiente d’être au printemps ?
- Je ne suis pas sûre, il faudrait que je demande à mon mari.”
“Visiblement, vous n’avez pas encore de téléviseur grand écran.”
“Nilgün porte sa burqa pour la toute première fois.
- Comme c’est mignon !”
Nilgün : “JE VOUDRAIS MOURIR !
- Elle pige vite, non ?
- Oui.”
Né en 1919, comme hebdomadaire du mouvement travailliste catholique, “Le Journal du peuple” s’est laïcisé en 1965. Le journal est aujourd’hui la lecture favorite des progressistes d’Amsterdam, et le troisième quotidien du pays, après De Telegraaf et Algemeen Dagblad. Le titre appartient aux éditions du Persgroep, un groupe de presse belge qui détient la plupart des journaux flamands et néerlandais.
De nombreuses personnalités de la littérature néerlandaise ont tenu des chroniques dans de Volkskrant, parmi lesquels l’écrivain Godfried Bomans, le romancier Kader Abdolah et le poète Remco Campert.
Lancé en mai 1996 à titre expérimental, le site a pris par la suite un certain relief pour aboutir à sa forme actuelle, avec une partie des contenue réservée aux abonnés.