Temps de lecture : 2 min
-
Ajouter à mes favoris
L'article a été ajouté à vos favoris
- Google News
Claude Guéant a de nouveau été entendu le 11 septembre dernier par les juges responsables de l'enquête sur un présumé financement libyen de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2007. Les juges lui ont alors signifié de nouvelles mises en examen, pour « corruption passive », complicité et recel de ce délit, « recel de détournements de fonds publics » et pour « complicité de financement illégal de campagne électorale », ont indiqué des sources concordantes à l'Agence France-Presse, confirmant partiellement une information de RTL.
Claude Guéant est déjà poursuivi dans ce dossier depuis 2015 pour « blanchiment de fraude fiscale en bande organisée » et « faux et usage de faux ». Une affaire notamment liée à un virement suspect de 500 000 euros sur son compte, depuis l'étranger. Claude Guéant avait justifié celui-ci par la vente en 2008 de deux tableaux flamands, sans convaincre les enquêteurs.
Lire aussi Affaire des tableaux : Khaled Ali Bugshan, tirelire de Claude Guéant ?
Le 11 septembre, il aurait exercé son « droit au silence » lors d'un interrogatoire ponctué d'une cinquantaine de questions. Son avocat, Philippe Bouchez El Ghozi, contacté par la radio, a annoncé des mises en examen « juridiquement contestables ». Il a saisi la chambre d'instruction pour les faire annuler.
Ces nouveaux soupçons contre un fidèle de l'ancien président de la République interviennent alors que, ces derniers mois, les juges ont accéléré le pas dans leurs investigations avec la mise en examen de Nicolas Sarkozy pour « corruption passive », « recel de détournements de fonds publics libyens » et « financement illégal de campagne électorale », puis celle d'Éric Woerth en mai pour « complicité » de financement en tant que trésorier à l'époque de la campagne.
Concrètement, dans ce volet, les magistrats soupçonnent un lien entre un possible financement libyen de la campagne électorale et la circulation d'espèces au sein du camp Sarkozy, relevée par les policiers dans un rapport de septembre 2017. La police anticorruption de l'Oclciff avait notamment souligné « l'usage immodéré des espèces » par Claude Guéant, soulignant qu'il n'avait retiré que 800 euros de ses comptes en près de dix ans, entre 2003 et 2012.
Tout à fait exact : cette prétention à être seuls légitimes à appliquer la Constitution gaullienne, ils auront fomenté
1. Les manifestations de 1984 contre les réformes de l"enseignement, n'ayant pas digéré les élections de 1981,
2. Celles de 2013 relatives à la contestation homophobe de la révision des articles du code civil portant sur le mariage,
3. Puis devant leur dépit, celles, violentes, rejetant les portiques de écotaxe mis en place par sarkozy himself,
4. Et désormais, ce simulacre d'enquête sur le fait divers "Benalla" que les observateurs étrangers se gaussent de voir traitée d'affaire d'Etat.
Décidément, ces démocrates douteux ont du mal à accepter le verdict des urnes, surtout quand cela gène leurs "petites" affaires !
Ils ont toujours eu la haine envers ceux qui leur ont pris le pouvoir, ce pouvoir qu’ils pensaient réservé a la droite. Toutes les magouilles et scandales ne les genent pas dés l’instant que cela sert le maintient au plus haut de leurs castes de notables a deux balles... Ils sont pret a insulter la justice et la police sur tous les médias... Criant aux complots ou aux gauchistes... Les pauvres bougres... Amitiés
C'est fou comme ces supplétifs ont de piètres arguments...
Est ce la Firme qui a déteint sur eux ou l'inverse ?
Cela reste un épais mystère, comme tout ce qui entoure ces affaires...
Et leur seule historiette, c'est le fait divers Benalla dont l'exploitation ad nauseum révèle la vacuité de ce qui ose encore s'appeler l'opposition.
Quelle chute vertigineuse...
Amitiés itou, TSLR
; -)